Habermas
Sphère Publique
Habermas définie la sphère publique comme une sphère des gens privés qui se rassemble ensemble pour formé un publique. Il retrace l`histoire de la division entre le public et le privé dans la philosophie et le langage. La transformation structurale de la sphère publique est en effet une façon d`examiner une sorte de publicité qui a survenu du 18e siècle mais qui a encore a ce jour une pertinence moderne.
L’approche de Palo Alto
L'école de Palo Alto fut fondée en Californie par différents chercheurs ainsi que psychothérapeutes tel que Bateson et Watzalwick. Ceux-ci ont établie une façon de résoudre les problèmes psychologiques chez les humains. Dans cette approche, nous retrouvons l’approche systémique des relations humaines. Elle met aussi l’accent sur les interactions des divers éléments tel qu’aux aspects cognitifs ainsi qu’aux réactions des gens qui entoure la personne qui est atteintes de problème.
On dit aussi que Palo Alto est interactionnisme. Cela veut dire qu’elle se retrouve dans les interactions qu’a l’individu avec l’environnement, comparativement aux autres théories (fonctionnalisme, béhaviorisme, cognitiviste) qui elles tentent d’expliquer la façon dont le gens se comportent. Lorsque l’on dit interactionnisme nous faisons la liaison de la cybernétique, le système et la biologie qui se rapportent tous à l’interaction du langage.
Voici donc la différence en Bateson (meta-communication) et Watzalwick dans la théorie de Palo Alto.
Bateson et ses chercheurs développent la théorie du double contraint qui dit que la maladie mentale doit être pris comme un moyen d’adaptation à une structure pathologie de relations familiales. Il s’intéresse à la façon dont les réseaux de communication sont organisés tout en reliant l’homme à l’environnement (MIND). Il tente de comprendre la structure qui relie les phénomènes naturels et notre façon de les concevoir.
Wazalwick quant à lui, prend les travaux de Bateson. Il tient cinq axiomes : 1. On ne peut pas ne pas communiquer, 2. Meta-Communication, 3. Séquences de l’interaction, 4. Aspects numériques et analogiques de la communication, 5. La symétrie de l’interaction.
Il développe une pragmatique de la communication interpersonnelle et continu les applications psychothérapeutique. Il a conçu une façon de résoudre les problèmes psychologiques basés sur une création interactionnelle de la conduite et l’utilisation de techniques distinctes de transformation.
La Sémiologie / Sémiotique
La Sémiotique ou la théorie du sens, est une matière qui sert a étudié les signes et la signification. Elle concerne tous les types de signes ou de symboles, incluant non seulement les mots mais également des gestes, des sons, des concepts, des images, des idées et même des pensées. La sémiotique fournie les outils a l`examen critique de ces symboles et des informations. Par la suite elle permet de les manipuler afin de mieux utiliser les relations entre les idées et les concepts et en crée une signification.
Il existe trois concepts de signe. Premièrement nous parlons de tradition aristotélicienne qui survient du théoricien Aristote. Selon ce concept, le signe comprend trois parties. Le signifiant, le signifié et le référent qui représente l`objet réel ou concrète a qui renvoie le signe.
Deuxièmement, le concept de Saussure et les ``signes linguistique``, est un concept qui a par la suite été développer davantage par l`école du structuralisme. Il est constitué du signifié et le signifiant. Le signifié désigne la représentation mentale d`une chose ou d`un concept associé au signe, en autre mot, le coté conceptuel ou le sens. Tandis que le signifiant est la représentation de la forme et de l`aspect matériels du signe comme par exemple l`image acoustique d`un mot.
Le troisième concept du signe est celui sur lequel nous allons nous concentrer, le concept de Peirce. En effet Peirce fut le fondateur de la sémiotique et s`est basé sur trois principes de théories sémiotique tel que générale, triadique et pragmatique. La théorie générale englobe tous les composantes de la sémiologie, elle généralise le concept de signe et entrevoit la vie sentimentale, pratique et intellectuelle. Par la suite, il y a la théorie triadique qui se sépare en trois catégories philosophiques : La priméité la secondéité et la tiercéité et met en relation trois termes qui se trouve a être le signe ou représentamen, l`objet et l`interprétant. Le troisième principe sur lequel Peirce se base est la théorie pragmatique qui prend en compte le contexte de production et réception des signes ainsi que de définir le signe par son action sur l`interprète.
Selon Peirce, toute pensée se fait a l`aide de signes. De plus, les trois catégories de la théorie triadique son nécessaire et entièrement suffisante pour se rendre compte de toute l`expérience humaine. La première catégorie, la priméité représente une conception de l`être dans sa globalité, entièreté, sans limites et sans causes ni effet. C`est la conception d`un être qui est complètement indépendant de tout autre chose. Il a simplement le UN dans la priméité et correspond à la vie émotionnelle. Un exemple pour bien démontrer cette catégories est l`impression générale de peine même avant qu`on se demande si cette impression provient d`un mal en quelque part ou d`une douleur morale.
La deuxième catégorie est la secondéité qui représente la conception de l`être qui est relatif a quelque chose d`autre. C`est basé sur l`individu, de l`existence, l`expérience et de l`action-réaction. Elle s`inscrit dans un temps discontinu et coïncide avec la vie pratique.
La troisième catégorie se trouve a être la tiercéité, la médiation par laquelle un premier et un deuxième sont mis en relation. Elle renforce la règle et la loi. De plus, la tiercéité tous comme la priméité, est la catégorie du général qui porte l`ordre sur le nécessaire et de la prédiction. Elle correspond à la vie intellectuelle, elle accepte la communication sociale et représente le processus sémiotique.
Le processus sémiotique est représenter par une relation triadique entre un signe (représentamen), qui est une chose qui représente une autre chose comme par exemple son objet; entre un objet, que le signe représente; et un interprétant.
Nous utilisons la sémiologie dans la vie de tous les jours. Elle est présente dans plusieurs domaines et différente carrière. Un exemple de discipline qui démontre la sémiologie : la discipline du ``design`` est un bon exemple car son rôle est de donner un sens a un produit, une raison d`exister et d`être crée. L`action du design consiste à raconter une histoire, a donner la parole au produit. Elle donne une signification à la création. D`autre profession dont nous retrouvons la sémiologie serait la photographie, les artiste, le vidéo, la médecine en utilisant la sémiologie médicale et encore plus.
L’École Structuralisme
Pour communiquer, il faut établir un système de transmission que l’on peut établir dans un environnement dont les conditions sont convenables. Les signes sont fait pour être communiquer doivent être échangés. Pour ce faire, à l’entrée du canal de communication, il faut une façon de pouvoir atteindre au message à partir de la source d’information. Ensuite à la sortie c’est le temps de faire le décodage des signaux donc passer à la compréhension du message. Transmettre un message consiste toujours à encoder ce qui doit être transmis. Donc le code ne peut jamais être conçu par les usagés. Par contre, il est aussi possible de coder par un autre code. Le code doit être plusieurs choses tout comme indépendant de l’émetteur, il doit pouvoir donner le choix de deux messages et le message doit être mesurable. Le récepteur sait tout ce qui est possible de dire. Par contre il ne sait pas exactement ce qui sera dit. Pour l’émetteur, il doit pouvoir accepter les limites du code. L’émetteur tient aussi une tâche complexe car le code limite les possibilités d’expression, donc il ne peut pas s’exprimer. Comme Lévi-Strauss dit, ‘si nous assimilons toute la vie sociale à un processus d'échange de signaux, nous trouvons l'anthropologie structurale telle que la définit’.
La sémiologie soutient qu’il y a un sens à ce que les humains disent. Il y a trois thèses canoniques du structuralisme.
1. Le signifiant précède le signifié : le code précède le message car le langage n’est pas un medium, un moyen d’expression et une médiation. Le message énonce les opportunités et les termes du code appliqué à l’expérience.
2. Le sens surgis du non-sens : Le code ne dépend aucunement du message. Le sens du message est déjà fait dans la langue. Quant à Lévi-Strauss, dit que la langue des gens avait des signifiants flottants. Ce qui veut dire que les expressions sont bien formés aux seins de la communauté linguistiques.
3. Le sujet se soumet à la loi du signifiant contre la phénoménologie
La sémiologie met l'attention vers ce qui a comme corrélation de l’émetteur au système signifiant qui acquiesce, en créant ses énoncés, d'instituer quelque liens entre lui-même et d'autres humains parlant le même dialecte.
Références
Nicole Everaert-Desmedt (2011), « La sémiotique de Peirce », dans Louis Hébert (dir.), Signo [en ligne], Rimouski
Jean-Marc Colletta, 2009
Marseille Dupuis, 2010
